Dépister les allergies…

Les intolérances alimentaires sont, la plupart du temps, cachées, mais je pense que c’est un sujet qu’il ne faut pas négliger.
Les dépister semble donc primordial…Votre médecin peut vous y aider.

Un animal saturé d’antibiotiques ou un légume  gorgé d’insecticide, on le sait maintenant, sont nocifs à notre santé, mais dépister les intolérances alimentaires est une chose à laquelle on ne pense pas souvent. Chaque individu est différent, et nous ne réagissons pas tous de la même façon à une intolérance ou à une allergie.
Les manifestations allergiques sont beaucoup plus importantes qu’on ne se l’imagine, et peuvent se présenter sous différentes formes.

L’on sait aujourd’hui que nos intestins sont tellement sollicités par une alimentation dégradée, que ce corps étranger peut se retrouver dans notre sang parce qu’il n’a pu être éliminé par notre système de sauvegarde.
Ainsi, notre organisme nous signifie son intolérance ou son allergie par différents signes.

Dans la bouche, et même sur les lèvres ou dans la gorge, un produit non toléré est capable de déclencher un œdème et des démangeaisons.
Dans l’estomac, l’aliment allergène peut provoquer des dilatations, des nausées, des vomissements, des douleurs, et à la longue, des ulcères.
Dans l’intestin, il va entraîner des spasmes et un rétrécissement de l’intestin, et, par là même, perturber gravement l’assimilation, surtout s’il y a présence d’épices ou d’alcool…

Nos défenses corporelles déclenchent une réponse immunitaire envers chaque corps étranger qui le dérange et s’introduit dans la circulation sanguine.

Les allergènes alimentaires les plus fréquents, sont le gluten, les crustacés, les fraises, le jaune d’œuf, le porc, le lait, le miel, les fruits à coques et le pollen. Mais il en existe bien d’autres…

Nous devrions nous abstenir d’une manière générale de toutes conserves, charcuteries ou aliments préparés du commerce, car ils contiennent de nombreux allergènes. Privilégier le « fait maison » c’est déjà un bon pas vers un « mieux être ».

Ne plus manger d’aliments allergéniques économise tout le travail que l’organisme fournissait pour lutter contre les inflammations intestinales à bas bruit et les réactions immunitaires dans la voie sanguine.
De ce fait, on dispose de plus d’énergie, de plus de possibilités d’adaptation, d’un meilleur sommeil et d’une meilleure qualité de vie…

Voici quelques facteurs susceptibles d’engager intolérances et allergies  :

–    absence d’allaitement maternel ou un arrêt trop précoce
–    mauvaises habitudes alimentaires
–    perturbation du fonctionnement intestinal
–    perméabilité excessive de l’intestin grêle dû à une alimentation de mauvaise qualité
–    transformation industrielle de la nourriture
–    les additifs
–    la surcharge environnementale
–    certaines antibiothérapies.

N’hésitez pas à en parler avec votre médecin !

 

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Une réponse

  1. Ma fille est allergique aux pollens, les yeux et le nez qui grattouillent, des difficultés respiratoires, en particulier au printemps… ça n’a pas toujours été facile…

    Stéphanie

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